Par Philippe Defeyt.
La dégradation conjoncturelle et l’augmentation du nombre de jeunes de 18 à 24 ans actifs font que le chômage des jeunes est appelé à augmenter pour retrouver, entre 2010 et 2013, des niveaux supérieurs à 60.000 unités en moyennes annuelles.
Mais, au-delà des fluctuations conjoncturelles, le nombre de jeunes chômeurs est et demeure scandaleusement élevé.
La dernière étude de l’Institut pour un Développement Durable, intitulée : « La difficile insertion des jeunes wallons : constats et pistes d’action« , poursuit deux objectifs :
- éclairer les décideurs sur les principales caractéristiques et évolutions du marché du travail des moins de 25 ans et des caractéristiques de cette population qui pourrait être une des victimes de la crise économique ;
- évoquer des propositions et pistes pour élargir le champ des possibles pour mieux réussir une intégration globale (donc pas seulement une intégration (socio)professionnelle) des jeunes dans leur vie et dans la société wallonne.
Dans ses conclusions, l’auteur plaide pour à la fois 1° renforcer, avec plus d’efficacité et plus d’efficience, l’insertion (socio)professionnelle des jeunes et 2° inscrire celle-ci dans une politique, plus globale, d’insertion citoyenne.
L’étude commence par une synthèse de 3 pages.
Vous trouverez ci-contre (sous deux formats : WORD et PDF) le texte de l’étude et une annexe libre (fichier Excel).
Pour accéder au ficher désiré cliquez dans la ligne précédente sur « WORD », « PDF » ou « annexe ».